Chaque pays ou unité a donné un écho de la manière dont les sœurs vivent leur mission. En cette période de guerres, de troubles et de montées des nationalismes, de nombreux aspects de notre vie religieuse témoignent d’une coexistence pacifique et engagée. Il a été souligné à plusieurs reprises que la vie religieuse porte en elle le germe d’un autre monde possible, même si cela ne se manifeste qu’à petite échelle.
Ensuite, la supérieure générale et les conseillères générales, puis l’économe générale, ont rendu compte de leur travail au cours des six dernières années. Puis les responsables de la formation des novices ont fait le point sur les deux noviciats internationaux, l’un, anglophone, à Nairobi au Kenya, et l’autre, francophone, à Cergy en France. Elles remarquent que les jeunes femmes qui entrent chez nous ont parfois déjà vécu des expériences internationales, petites ou grandes, à travers un stage ou des études à l’étranger, des amitiés internationales, ou elles viennent de pays avec des cultures différentes. Vivre l’interculturalité au noviciat est un défi pour elles, mais ne fait pas obstacle.
En fin de journée, sous la forme d’un film, la jeune génération a transmis ses aspirations et ses questions avec une grande vitalité qui a dynamisé l’assemblée.
Le 7 août était un jour de repos, pendant lequel il était possible de visiter l’une ou l’autre communauté dans les environs de Paris ou de faire de petites excursions.